dimanche 27 février 2011

Le premier jour

Il y eut un soir, il y eut un matin : ce fut le premier jour.



6 commentaires:

  1. Deuz!...je m'interroge toujours sur la légalité du nom du maître d'ouvrage?!

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  2. Liberté, légalité, fraternité, je n'en dé-mors pas. Ouah !

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  3. Je ne suis qu'un chien : il faut m'excuser pour mon orthographe approximative.

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  4. Enkidou aurait de quoi se plaindre de se voir négligé , avec ce "cha-let" qui tourne en ..." tout-à-bois" ...
    Mais Jean-Jacques a de quoi louer Dieu " ô Grand Etre, ô Grand Etre, sans pouvoir dire ni penser rien de plus"
    , à voir cette modeste "cala" qu'il nous rapporta de Suisse romande en 1723 ( source le Petit Robert) et qui dès son squelette devient tout de grâce vêtu ( mamie aimerait même le voir rester tout nu !). Peut-être que sous le bienveillant sourire du Criou il pourrait prendre en plus un petit air gaillard en se muant en Margaliou ?

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  5. Le commentaire précédent mérite à son tour quelques commentaires.
    Tout d'abord, qui se cache derrière le pseudo mystérieux de Marog ?
    Marog est le nom savant d'une espèce d'épinard : s'agirait-il donc de Popeye, accompagné d'Olive ?
    Le marog est aussi un sable utilisé comme engrais en Haute-Egypte : aurions-nous affaire à une réincarnation de Ramsès II et de son épouse Néfertari ?
    A moins qu'il ne s'agisse du professeur Rogue, professeur de Potions Magiques à Poudlard et chef de la Maison Serpentard, et de son épouse Marie-Thérèse ?
    Il semblerait que les mots "cha-let" et "tout-à-bois" doivent être interprétés comme des jeux de mots (oui, les chats sont laids, et j'aboie - rarement d'ailleurs).
    Le Jean-Jacques mentionné ici est probablement un dénommé Rousseau qui, outre son célèbre ouvrage sur le Code de la Route, en a commis d'autres moins connus, dont une jolie lettre à M. de Malesherbes de laquelle est tirée la citation de Marog (Rousseau dit aussi, dans la même lettre : "Mon chien lui-même était mon ami, non mon esclave, nous avions toujours la même volonté, mais jamais il ne m'a obéi.").
    Le mot "cala" (dérivé sans doute du latin casa) désignait en franco-provençal un abri, et a sans doute donné "chalet" en français, le mot (et la chose sans doute) ayant été popularisés par le sus-mentionné Jean-Jacques.
    "Squelette" est sûrement utilisé ici pour "charpente" : jolie métaphore. Les mots "grâce", "vêtu", "nu" personnifient l'objet. Il faut aussi souligner le caractère quelque peu oxymorique de l'audacieuse association du squelette et de la grâce.
    Le sourire du Criou est aussi métaphorique : étant une montagne, le Criou ne sourit pas en vrai. Mais le paysage est néanmoins riant : il n'est donc pas absurde de dire que, sous le Criou, il est sous-riant.
    L'air gaillard est probablement une référence à la ville de Gaillard, située à quelques lieues du Margalier.
    Quant à Margaliou, par la barbe du Criou, je donne ma langue au chien.

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